Lire en short – Juillet 2015

par | Août 4, 2015 | Nos actus

Lire en short:  répondant  à l’heureuse initiative de la ministre Fleur Pellerin, NVL/CRALEJ  a été invitée à la campagne… par l’association La Gaboulhane ( en occitan, le gaboulhan est l’églantier).

Recensée dans les 1000 manifestations 2015, « C’est en lisant qu’on devient liseron » a eu lieu à Vimpère, en Haute Vienne, un  village limousin au coeur du Parc Régional Périgord Limousin,  les 25 et 26 juillet 2015. La phrase de Queneau qui servait de titre donnait le ton à la fois militant et amusé de ce weekend ensoleillé et décontracté à la campagne où les bébés étaient à l’honneur dès un an. Sous le cerisier, les 3 ans et plus ont pu entendre lire La Grenouille à grande bouche et Le petit bonhomme des bois. Célia Stupar soutenue par une grande marionnette a fait vivre le conte Le taël d’argent. Mamie Aimée faisait les crêpes du goûter. Une exposition de pop-up remarquables dont certains prêtés par la Bibliothèque de Bordeaux a subjugué petits et grands. Quelques photos traces de cette manifestation bon enfant…

C’est en lisant qu’on devient liseron

C’est en lisant qu’on devient liseron

par | Juil 12, 2015 | Nos actus

Dans le cadre de Lire en short , NVLla revue et le CRALEJ coorganisent avec l’association La Gaboulhane

C’EST EN LISANT QU’ON DEVIENT LISERON 

le samedi 25 et le dimanche 26 juillet 2015 de 14.30 à 18.30

à  Vimpère, village limousin du Pays des Feuillardiers au cœur du Parc Régional Périgord-Limousin,

adresse:  VIMPERE, route de Champagnac la Rivière, 87440 La Chapelle Montbrandeix

  • EXPOSITION DE LIVRES ANIMES (POP – UP) tout public
  • BÉBÉS LISERONS : Espace de lecture pour bébés de 1 à 3 ans  avec leur parent
  • EN  ROND : présentation des types de livres bébés aux parents et médiateurs, pourquoi et comment les utiliser -16h (Claudine Stupar)
  • LA MALLE : vente de livres 0-5 ans à prix réduit
  • LECTURE D’ALBUMS GEANTS ( Didier Jeunesse), dès 2 ans, séance 15h30, durée 20’(Claudine Stupar)
  • CONTE AVEC MARIONNETTE, dès 3 ans, séance 17h- durée 30’ (Célia Stupar)
  • Toutes les animations sont gratuites. Possibilité de goûter sur place.
    Contact : 06 88 43 30 38- contact@nvl-larevue.fr.

 

Toutes les animations sont gratuites. Possibilité de goûter sur place.

v’là l’ printemps, v’là des poètes!

par | Mar 17, 2015 | Nos actus

Ce Printemps des poètes 2015, Régis Lefort, ami collaborateur de la revue NVL , était l’invité du Marché de la Poésie à Bordeaux pour son recueil Onze ( éd. de Vallongues, 2012, 15€- ISBN 9782906591660).A une ou deux voix, ses poèmes ont été lus  sous la Halle des Chartrons  et à la Librairie Olympique. Si la poésie a besoin de lecture, relecture et silence, elle a aussi besoin de la voix qui  donne chair et rythme et souffle à des  écritures pas toujours faciles d’accès.

Olivier Chaudenson, directeur de la Maison de la poésie pense aussi que la lecture de texte peut faciliter l’entrée dans un poème.  La voix aurait plus de chance de faire goûter les œuvres. Mais les textes contemporains sont peu lus. Dès lors, « la rencontre avec l’auteur, la lecture, la performance, tout ce qui montre que la poésie est un art vivant, tout ce qui est du registre de la littérature en scène, est une façon de s’exprimer auprès d’un public plus large », estime-t-il.
Et c’est vrai aussi de la poésie jeunesse .
A lire aussi  dans le numéro de mars de NVL: un article sur des parutions de  poésie jeunesse  » La poésie est une insurrection ».

« L’ivresse du livre » , tendance, fashion, pipeau?

par | Fév 4, 2015 | Billets d'humeur

L’ivresse du livre, titrait Patrick Williams, rubrique Info de ELLE du 23 janvier. Vous vous étonnez que je cite ici un hebdo féminin? c’est que ce papier fait chaud à nos coeurs. « Nous avons tellement pianoté sur nos Smartphones,tellement cliqué,tellement annoncé le sacre des liseuses que nous ne donnions plus très cher de ce vieil objet fait de papier et d’encre. Or le bouquin à l’ancienne se voit plébiscité par ceux-là même qui semblaient ses ennemis… » Non ?? On assisterait à un « rejet de la dématérialisation propre à la culture digitale ». Internet ne serait pas un concurrent de l’édition classique mais « un formidable tremplin ». Waouh!… » Tous les auteurs n’ont qu’un but: être édité sur papier ». OK,fantasme d’auteur, mais quid des lecteurs ?? Le livre numérique ne représenterait que 4% des ventes en France et « le livre dans sa matérialité possède une incomparable valeur affective ». Ouiiii, acquiesce-t-on, enthousiaste. Des preuves ? Céline- pas l’auteur, la maison de couture !- a pris comme égérie Joan Didion, l’écrivaine américaine de 80 ans.  Je vous sens encore dubitatifs mais « récemment , un panneau autoroutier de Los Angelès a été hacké.(sic) On pouvait y lire : Read a Fucking Book. Les automobilistes ont apprécié.  » Vous voyez…et si la mode vient des USA, le livre va devenir furieusement tendance, je me sens déjà une  bookista. LOL.