Après Considérons les animaux, Besoin des oiseaux, Chez moi/chez nous ou (co)habiter le monde, NVL la revue continue à creuser la voie de l’écopoétique en s’intéressant à l’imaginaire des forêts. Non pas le motif ressassé de la terrifiante forêt des contes mais les forêts comme écomotif : là où nombre de fictions actuelles semblent aptes à enrichir un autre imaginaire des forêts car… nous sommes les forêts…